Vernissage de la nouvelle exposition « Soulages, la force créatrice » à l’Espace Lympia, Nice

Après l’ouverture des manifestations au Centre Pompidou et au Louvre, l’exposition niçoise prolonge les célérabrations autour du centième anniversaire du plus célèbre des artistes français vivants.

© 2020 Serendipity Studio pour artworks!

Le vernissage de la nouvelle exposition « Soulages, la force créatrice » a eu lieu ce samedi en présence de Éric Ciotti, Député et Président de la commission des finances du département des Alpes-Maritimes, de Gérard Bosio, Conseiller culturel commissaire de l’exposition et de Anne-Marie Dumont, Vice-présidente du département des Alpes-Maritimes en charge de la culture adjointe au maire d’Antibes Juan-les-Pins.

Cette exposition prolonge les évènements célébrés en France — à Paris, notamment, avec deux expositions majeures au Louvre et au Centre Pompidou — autour du 100e anniversaire du peintre, considéré comme le plus célèbre des artistes français vivants.

Lors d’un discours où il était question de l’humanisme de l’oeuvre de Soulages, le commissaire de l’exposition, Gérard Bosio a souligné l’ambition culturelle d’un département de plus en plus soucieux d’accueillir les évènement culturels d’intérêt national. Il a également souligné les liens intimes — artistiques, intellectuels et personnels — qui liaient l’artiste français à Léopold Sédar Senghor. Le titre de la présente exposition, « la puissance créatrice », vient d’ailleurs d’une formule du poète et chef d’État sénégalais issue d’un hommage qu’il a rendu à Soulages dans la revue « Ethiopiques». Des oeuvres appartenant à la collection personnelle de Léopold Sédar Senghor figurent parmi celles exposées au Port de Nice.

Pour approfondir le sujet, nous vous recommandons le dossier, « La puissance créatrice de Soulages », mis en ligne par la revue « Ethiopiques »  consultable ici.

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Vernissage « Soulages, la force créatrice »

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Bibliographie

Ne cherchez donc pas de “clés de lecture” ou de “points d’entrée” à l’oeuvre de Soulages. À la place, l’ouvrage, sorti en octobre 2019, passerait pour la dernière toile du peintre centenaire…. Il se lit comme une poésie longue de 100 pages et s’impose comme un tableau monumental suspendu sur un fond… noir. De la poésie donc, dans tout ce qu’elle peut produire de fulgurant et d’abstraction, ponctuée de vérités arrachées sur le vif et esquissées avec une déroutante économie de moyens.
JS